Les propositions de qualité sur grand écran ne manquent jamais en fin d'année, course aux Oscars oblige. Une fois contournée la file d'attente pour cette guerre des étoiles très populaire, il est possible de prendre place dans une salle néanmoins bien remplie pour " Spotlight: Édition spéciale" de Thomas McCarthy. Pas de mystère sur ce que nous y verrons, soit une enquête journalistique, de son déclenchement jusqu'à son fructueux dénouement.
La question, une fois cet élément connu est de savoir si nous serons captivés par les différents épisodes de cette histoire. La réponse est définitivement oui. Comment les hommes en soutane ont abusé de jeunes, que leurs supérieurs ont protégé et qu'une société de bien pensants ont effacé les traces de ces agissements ? Dans cette ville de Boston, début des années 2000 où l'Église est partout, l'équipe de trois journalistes mandatée par un patron, dirigée par un leader, guidée par des témoins déterminés surmontent les difficultés pour tout dévoiler.
Deux heures captivantes basées sur des évènements réels, habilement présentés et efficacement interprétés, la performance de Mike Ruffalo est particulièrement digne de mention. Pour apprécier, un seul cinéma pour le faire, "Le Quartier Latin" et malheureusement que deux fois par jour et sûrement pas pour très longtemps. Alors n'hésitez pas trop longtemps, sinon ce sera sur un plus petit écran, plus tard.
http://www.cinoche.com/films/spotlight-edition-speciale/index.html
mardi 29 décembre 2015
mercredi 23 décembre 2015
Sur mes pas de l'automne 2015, bilan des traces laissées
Depuis la fin de l'été, c'est vers plus de trente sorties danse et beaucoup plus de propositions compte-tenu des programmes double et triple que mes pas m'ont amené. Voici donc venue l'heure de faire un bilan de mi-année. Des oeuvres coup de coeur, d'autres "un peu moins", toutes cependant ne m'ont pas fait regretter mon déplacement.
Dans la catégorie coup de coeur, la liste pourrait être longue, mais je me limiterai à cinq oeuvres et quelques petits extras.
Mon top cinq d'oeuvres, dans le désordre:
"Pluton" de La 2e porte à gauche présenté à l'Agora de la danse en collaboration avec Danse-Cité.
Voilà ce que j'écrivais quelques heures plus tard, "Impossible de résumer en quelques mots, tout ce que l'on peut ressentir devant tant de nuances en geste, d'intensité montrée ou retenue. Quatre oeuvres dans lesquelles la signature du chorégraphe est tout à fait perceptible mais totalement pris en charge par les interprètes. Des moments de pur bonheur, mais pour ma part, la chance s'est faite encore plus grande. Durant une prestation, comment réagiriez vous, s'il y avait Louise Bédard qui s'approchait de vous, s'adressait à vous seul en vous disant que êtes plus beau sans vos lunettes et que surtout que vous avez de beaux yeux."
"Unrelated" de Daina Ashbee présenté au La Chapelle dans le cadre du Festival "Grand Cru".
Voilà ce que j'écrivais à propos de cette expérience, ébranlé et touché. Cette oeuvre sombre met en lumière...". Cette contradiction, en apparence, illustre bien, le sujet tel un corps noir qui irradie, soit la violence faite aux femmes, un côté sombre de la nature humaine qui produit une oeuvre lumineuse. Cette violence, inspiration de l'oeuvre se traduit par une souffrance exprimée, une souffrance qui est aussi totalement désespérée. Grâce aux performances intenses de Clara Furey et Areli Moran, c'est une souffrance dévoilée, exprimée par des gestes d'auto-violence, par des gestes non aboutis, par des tentatives de prise en charge, mais jamais par la parole.
"Bagne Re-création" de Jeff Hall et Pierre-Paul Savoie à la Place des Arts présenté par Danse Danse.
Une heure qui frappe dans "l'dash" et qui laisse une trace tangible en nous. Voilà ce que j'écrivais et qui encore résonne en moi. Belle occasion aussi de revoir une oeuvre marquante de notre répertoire en danse.
"Rites" de José Navas à la Cinquième Salle de la Place des Arts présenté par Danse Danse.
De cette soirée, j'ai écrit, "Une fois les lumières éteintes, calme et posé, il entreprend trois courts solos en prenant le temps de changer de vêtements. Chers spectateurs, c'est à mon rythme que les choses se feront, indique-t-il. Si le rythme est saccadé, l'interprétation est fluide. Arrive la pièce principale de cette soirée, "Le sacre du printemps" qui me captive et m'interpelle autant par le propos que par l'interprétation." L'effet Navas avait encore fonctionné.
"(CO) + Le facteur humain" d'Evelyne Laforest et Rémi Laurin-Ouellette au Monument National présenté par Tangente.
J'écrivais "Une vingtaine de minutes qui font tout oublier, surtout les tracas" pour lapremière oeuvre et "Une danse qui fait du bien à l'âme du spectateur.", pour la deuxième. D'une esthétique douce et si belle et enrobées d'une trame musicale délicieuse pour l'oreille, nous en souhaitons d'autres de ces deux chorégraphes.
Mes extras:
Mon moment fort d'interprétation:
La prestation de Brianna Lombardo dans "ThisDuetThatWe'veAlreadyDone(so manytimes)" avec Frédérick Gravel. Malgré que ce ne soit pas la première fois que j'appréciais ses prestations, la dernière en date était dans "Solitudes duo" de Daniel Léveillée, c'est là juste devant elle que la révélation s'est faite et "La présence Lombardo" dans mon esprit s'est imposée.
Mes sorties plaisir pas du tout coupable:
Me rendre assister à une représentation de "Passerelle 840" (trois fois cette saison), pour découvrir. Oui, juste pour découvrir et apprécier. Un agréable apéritif de début de soirée à 18h00, juste avant de me diriger ailleurs.
Mon moment fort de la saison:
Ma passage à CHOQ web radio avec la gang chaleureuse de Danscussions. Ma première fois à parler danse. Pour ceux et celles qui "l'ont raté".
Voici le lien.http://www.choq.ca/emissions/danscussions
Fin d'année en vue, une nouvelle à l'horizon. Une fois 2016 débutée, je vous présenterai mon agenda du printemps. Pour ceux et celles qui auraient des propositions, n'hésitez pas à me les partager.
Dans la catégorie coup de coeur, la liste pourrait être longue, mais je me limiterai à cinq oeuvres et quelques petits extras.
Mon top cinq d'oeuvres, dans le désordre:
"Pluton" de La 2e porte à gauche présenté à l'Agora de la danse en collaboration avec Danse-Cité.
Voilà ce que j'écrivais quelques heures plus tard, "Impossible de résumer en quelques mots, tout ce que l'on peut ressentir devant tant de nuances en geste, d'intensité montrée ou retenue. Quatre oeuvres dans lesquelles la signature du chorégraphe est tout à fait perceptible mais totalement pris en charge par les interprètes. Des moments de pur bonheur, mais pour ma part, la chance s'est faite encore plus grande. Durant une prestation, comment réagiriez vous, s'il y avait Louise Bédard qui s'approchait de vous, s'adressait à vous seul en vous disant que êtes plus beau sans vos lunettes et que surtout que vous avez de beaux yeux."
"Unrelated" de Daina Ashbee présenté au La Chapelle dans le cadre du Festival "Grand Cru".
Voilà ce que j'écrivais à propos de cette expérience, ébranlé et touché. Cette oeuvre sombre met en lumière...". Cette contradiction, en apparence, illustre bien, le sujet tel un corps noir qui irradie, soit la violence faite aux femmes, un côté sombre de la nature humaine qui produit une oeuvre lumineuse. Cette violence, inspiration de l'oeuvre se traduit par une souffrance exprimée, une souffrance qui est aussi totalement désespérée. Grâce aux performances intenses de Clara Furey et Areli Moran, c'est une souffrance dévoilée, exprimée par des gestes d'auto-violence, par des gestes non aboutis, par des tentatives de prise en charge, mais jamais par la parole.
"Bagne Re-création" de Jeff Hall et Pierre-Paul Savoie à la Place des Arts présenté par Danse Danse.
Une heure qui frappe dans "l'dash" et qui laisse une trace tangible en nous. Voilà ce que j'écrivais et qui encore résonne en moi. Belle occasion aussi de revoir une oeuvre marquante de notre répertoire en danse.
"Rites" de José Navas à la Cinquième Salle de la Place des Arts présenté par Danse Danse.
De cette soirée, j'ai écrit, "Une fois les lumières éteintes, calme et posé, il entreprend trois courts solos en prenant le temps de changer de vêtements. Chers spectateurs, c'est à mon rythme que les choses se feront, indique-t-il. Si le rythme est saccadé, l'interprétation est fluide. Arrive la pièce principale de cette soirée, "Le sacre du printemps" qui me captive et m'interpelle autant par le propos que par l'interprétation." L'effet Navas avait encore fonctionné.
"(CO) + Le facteur humain" d'Evelyne Laforest et Rémi Laurin-Ouellette au Monument National présenté par Tangente.
J'écrivais "Une vingtaine de minutes qui font tout oublier, surtout les tracas" pour lapremière oeuvre et "Une danse qui fait du bien à l'âme du spectateur.", pour la deuxième. D'une esthétique douce et si belle et enrobées d'une trame musicale délicieuse pour l'oreille, nous en souhaitons d'autres de ces deux chorégraphes.
Mes extras:
Mon moment fort d'interprétation:
La prestation de Brianna Lombardo dans "ThisDuetThatWe'veAlreadyDone(so manytimes)" avec Frédérick Gravel. Malgré que ce ne soit pas la première fois que j'appréciais ses prestations, la dernière en date était dans "Solitudes duo" de Daniel Léveillée, c'est là juste devant elle que la révélation s'est faite et "La présence Lombardo" dans mon esprit s'est imposée.
Mes sorties plaisir pas du tout coupable:
Me rendre assister à une représentation de "Passerelle 840" (trois fois cette saison), pour découvrir. Oui, juste pour découvrir et apprécier. Un agréable apéritif de début de soirée à 18h00, juste avant de me diriger ailleurs.
Mon moment fort de la saison:
Ma passage à CHOQ web radio avec la gang chaleureuse de Danscussions. Ma première fois à parler danse. Pour ceux et celles qui "l'ont raté".
Voici le lien.http://www.choq.ca/emissions/danscussions
Fin d'année en vue, une nouvelle à l'horizon. Une fois 2016 débutée, je vous présenterai mon agenda du printemps. Pour ceux et celles qui auraient des propositions, n'hésitez pas à me les partager.
samedi 19 décembre 2015
Sur mes pas de danse; Cru d'automne de l'École de danse contemporaine de Montréal
19 décembre 2015, cela sera la date de ma dernière sortie danse de l'année. Une sortie tout à fait réussie avec les élèves de troisième année, toutes féminines, de l'École de danse contemporaine de Montréal. Au programme, trois oeuvres toutes différentes, mais toutes aussi exigeantes que j'ai appréciées, seul !, de la première rangée.
En entrée de salle, il y avait six jeunes femmes assises autour desquelles le public nombreux s'est installé. Arrive l'heure, rien ne se passe, mais pour le spectateur attentif, le projecteur se braque sur une de ces jeunes filles qui sursaute au milieu de la salle. Peu à peu, le phénomène se propage aux cinq autres dont une juste à côté de moi. Voilà comment commence "o/r/g/a/n/i/k" d'Ismaël Mouaraki. Présentée comme une masse organique en mouvement, j'y ai plutôt vu, dans la suite sur la scène, un magma de mouvements relationnels entre femmes. Peu importe l'interprétation de l'oeuvre, les gestes habilement esquissés, portent et me plaisent. Très beau commencement.
Les projecteurs s'éteignent et se rallument sur six nouvelles interprètes, habillées "old fashion style". "Persona" de Marie Béland nous entraîne dans six différents univers identiques, dont celui des véhicules électriques ou des jeux vidéo qui ont chacun leur porte-parole. Le verbe et le geste se conjuguent pour nous convaincre, mais le plus convaincant est la performance de chacune des interprètes. Intense, surprenant et parfois déroutant, il est impossible de rester insensible. Les projecteurs s'éteignent, les applaudissements se font entendre et l'entracte se fait maître du moment.
Pendant cet entracte, le spectateur attentif verra mises sur la scène des perruques dont des blondes. Manon Oligny "will rock the place" serait-il tentant de dire. Une trentaine de minutes plus tard, l'observateur objectif sera tout à fait d'accord et voilà pourquoi. "Dollhouse (prototypes en présérie)" met en scène douze danseuses dans une oeuvre exigeante qui leur demande d'aller dans les méandres de la noirceur de l'âme humaine. La réalité se déforme et prend des allures inquiétantes, pour le plus grand plaisir des spectateurs. Pour les interprètes, je ne saurais dire.
Le tout terminé, les applaudissements sont tout aussi nourris que mérités. Les souvenirs sont, tels les pas qui laissent une trace. Impossible de ne pas le concrétiser sans donner le nom de ces douze interprètes, d'autant plus que toutes se sont montrées à la hauteur. Donc merci à vous pour cette belle soirée, Jenna Beaudoin, Miranda Chan, Ariane Famelart, Amélie Gauthier, Leïla Mailly, Jamie Malysh, Chloé Ouellet-Payeur, Jessica Perry, Marie-Pier Proulx, Cara Roy, Elsa Tellier et Sabrina Verrette. Merci à vous et vos profs.
Photo : Julie Artacho | Interprète : Chloé Ouellet-Payeur
En entrée de salle, il y avait six jeunes femmes assises autour desquelles le public nombreux s'est installé. Arrive l'heure, rien ne se passe, mais pour le spectateur attentif, le projecteur se braque sur une de ces jeunes filles qui sursaute au milieu de la salle. Peu à peu, le phénomène se propage aux cinq autres dont une juste à côté de moi. Voilà comment commence "o/r/g/a/n/i/k" d'Ismaël Mouaraki. Présentée comme une masse organique en mouvement, j'y ai plutôt vu, dans la suite sur la scène, un magma de mouvements relationnels entre femmes. Peu importe l'interprétation de l'oeuvre, les gestes habilement esquissés, portent et me plaisent. Très beau commencement.
Les projecteurs s'éteignent et se rallument sur six nouvelles interprètes, habillées "old fashion style". "Persona" de Marie Béland nous entraîne dans six différents univers identiques, dont celui des véhicules électriques ou des jeux vidéo qui ont chacun leur porte-parole. Le verbe et le geste se conjuguent pour nous convaincre, mais le plus convaincant est la performance de chacune des interprètes. Intense, surprenant et parfois déroutant, il est impossible de rester insensible. Les projecteurs s'éteignent, les applaudissements se font entendre et l'entracte se fait maître du moment.
Pendant cet entracte, le spectateur attentif verra mises sur la scène des perruques dont des blondes. Manon Oligny "will rock the place" serait-il tentant de dire. Une trentaine de minutes plus tard, l'observateur objectif sera tout à fait d'accord et voilà pourquoi. "Dollhouse (prototypes en présérie)" met en scène douze danseuses dans une oeuvre exigeante qui leur demande d'aller dans les méandres de la noirceur de l'âme humaine. La réalité se déforme et prend des allures inquiétantes, pour le plus grand plaisir des spectateurs. Pour les interprètes, je ne saurais dire.
Le tout terminé, les applaudissements sont tout aussi nourris que mérités. Les souvenirs sont, tels les pas qui laissent une trace. Impossible de ne pas le concrétiser sans donner le nom de ces douze interprètes, d'autant plus que toutes se sont montrées à la hauteur. Donc merci à vous pour cette belle soirée, Jenna Beaudoin, Miranda Chan, Ariane Famelart, Amélie Gauthier, Leïla Mailly, Jamie Malysh, Chloé Ouellet-Payeur, Jessica Perry, Marie-Pier Proulx, Cara Roy, Elsa Tellier et Sabrina Verrette. Merci à vous et vos profs.
Photo : Julie Artacho | Interprète : Chloé Ouellet-Payeur
vendredi 18 décembre 2015
Sur mes pas au "cirque"; "Bianco su Bianco"
Je ne suis pas sensible à la magie de Noël et à ses lumières, mais ce soir, grâce aux filles de Danscussions, au Théâtre Outremont, mon "coeur de pierre" s'est fendillé. Dans ce magnifique théâtre, Daniele Finzi Pasca nous a proposé une balade poétique tout à fait touchante colorée par des passages de clownerie et surtout illuminée par un assemblage d'ampoules lumineuses présentes sur toute la scène qui éclairent l'histoire qui nous a été présentée. Je serais prêt à qualifier ce moment de magique, moi le grognon de circonstance.
Dans cette histoire, il y a elle (Helena Bittencourt) et il y a lui (Goos Meeuwsen) qui, dans une suite de tableaux, parlent d'eux jusqu'à ce que ça devienne nous. Lui et elle parlent un français fortement teinté de leur origine (brésilienne et néerlandaise) que l'on doit apprivoiser au début, mais une fois cela fait, la magie opère. Je dirais même que les très jeunes, les jeunes et les moins jeunes dans la salle avec leur coeur d'enfant ont réagi, parfois bruyamment et toujours positivement, au récit. Je n'ai pas fait exception, tout au contraire.
Je vous écris sur un spectacle qui ne sera présenté qu'une seule fois dans cette salle et vous serez très déçus de l'avoir raté, j'en suis convaincu. Je vous annonce qu'il sera présenté à la salle Albert-Dumouchel à Valleyfield, demain le 19 décembre (des billets sont encore disponibles), pour les intéressés. Un petit secret que je vous partage, il neigera (sur scène) pendant la représentation. Admettez que cela vous ferait du bien ! Alors ?
Dans cette histoire, il y a elle (Helena Bittencourt) et il y a lui (Goos Meeuwsen) qui, dans une suite de tableaux, parlent d'eux jusqu'à ce que ça devienne nous. Lui et elle parlent un français fortement teinté de leur origine (brésilienne et néerlandaise) que l'on doit apprivoiser au début, mais une fois cela fait, la magie opère. Je dirais même que les très jeunes, les jeunes et les moins jeunes dans la salle avec leur coeur d'enfant ont réagi, parfois bruyamment et toujours positivement, au récit. Je n'ai pas fait exception, tout au contraire.
Je vous écris sur un spectacle qui ne sera présenté qu'une seule fois dans cette salle et vous serez très déçus de l'avoir raté, j'en suis convaincu. Je vous annonce qu'il sera présenté à la salle Albert-Dumouchel à Valleyfield, demain le 19 décembre (des billets sont encore disponibles), pour les intéressés. Un petit secret que je vous partage, il neigera (sur scène) pendant la représentation. Admettez que cela vous ferait du bien ! Alors ?
mardi 15 décembre 2015
C'est un départ
Chose promise. chose dûe !
Voici le premier texte de ce blogue.
Un blogue qui me permettra de partager mes impressions sur mes explorations culturelles en danse, mais pas seulement.
À venir, une présentation de moi, l'amateur de danse et l'amoureux de culture.
Voici le premier texte de ce blogue.
Un blogue qui me permettra de partager mes impressions sur mes explorations culturelles en danse, mais pas seulement.
À venir, une présentation de moi, l'amateur de danse et l'amoureux de culture.