samedi 14 janvier 2017

Sur mes pas au cinéma et en danse (bis): Une belle découverte que "La danseuse"

L'an 2017 en est à ses premiers balbutiements et moi en attente de mes premières sorties danse. Le septième art, pour une deuxième fois, en ce début d'année, me propose une oeuvre cinématographique qui porte sur ses pas qui dansent. En cette soirée nettement hivernale, mes pas m'ont amené vers ceux de "La danseuse" et l'amateur de danse et de septième art que je suis l'a bien apprécié. De cette danseuse, Loïe Fuller, d'une autre époque (début des années 1900), la réalisatrice, Stéphanie Di Giusto nous en présente une perspective éclairante pour une artiste restée dans l'ombre. Qu'est ce qui peut motiver un homme ou une femme à investir la scène pour s'y exprimer corps et âme jusqu'à y sacrifier sa santé ? Nous n'aurons pas une réponse très explicite à cette question, mais tout dans cette histoire nous permet de l'imaginer. Ce "driving force", alimentée par une enfance troublée et un besoin de présenter sans se révéler restera sûrement un objet de discussion. Il en reste que de cette histoire, j'en retiens celle d'une pionnière qui osera aller de l'avant et de faire différemment. Un film qui par ses scènes de danse captivera, non plutôt éblouira et les performances des principaux interprètes sont à la hauteur de cette histoire.



La danse, est à l'image de la vie riche de ses évolutions et de ses mouvements et "La danseuse" qui redéfinit les normes nous le rappelle avec éclat. Définitivement à voir.

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