dimanche 14 mars 2021

Sur mes pas (bien réels !) au cinéma: À la rencontre de "La déesse des mouches à feu" !

 La réouverture des salles de cinéma en zone rouge dont la mienne toute montréalaise ne m'avait pas échappée, mais mes premiers pas pour m'y rendre se font fait attendre. D'abord me retenir durant la semaine de relâche (et son inévitable affluence) et ensuite trouver le moment dans l'agenda fort occupé du retraité (que personne ne rit ici parce que c'est tout à fait vrai !). La première oeuvre à l'agenda, même si la rencontre était, de façon prévisible, peu agréable (mais très intéressante)  "La déesse des mouches à feu" d'Anaïs Barbeau-Lavalette. Je dois avouer que les propos de cette réalisatrice entendus à la radio avait piqué autant ma curiosité que mon intérêt !


Et cette première fois, c'est dans "mon" cinéma Beaubien que je l'ai fait ! Et question d'éviter l'achalandage pour cette première fois, c'est à la projection de dimanche matin 10h00 (9h00 si on tient compte du changement d'heure) que je m'y rendrai en bonne compagnie ! Malgré tout, c'est dans la grande salle numéro 2 fort bien pourvue de cinéphiles que je découvrirai cette déesse fort lumineuse. 

Rapidement, je suis amené dans l'univers de cette jeune fille (lumineuse Kelly Depeault) qui tente d'intégrer le monde "sans se brûler ses ailes" ! Un univers d'adolescent loin du mien autant géographiquement que personnellement. Mais c'est là un aspect de mes rencontres culturelles qui m'intéresse, soit celui de sortir de mes sentiers battus et me sortir de ma zone de confort. Une expédition difficile pour moi, pas très agréable, je le concède, mais fort instructive ! 

Une oeuvre riche de la performance de tous les interprètes. Une rencontre sur grand écran qui me rappelle que pour moi c'est dans une salle (sans popcorn !) que le septième art me rejoint autant !

La prochaine sortie, je vous l'annonce, sera très prochaine. À suivre donc !

Je m'en voudrais de ne pas mentionner que cette présentation était précédée par "Ka tatishtipatakanit (Éthéré) d'Isabelle Kanapé gracieuseté de Pleinsecrans et de Wapikoni. Leçon fort sage en ces temps tous modernes de réseaux sociaux !


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