Pour quiconque suit mes pas au cinéma, sait déjà que mes excursions sont rarement effectuées hors du territoire du cinéma de répertoire ou d'auteur. Mais là, je n'ai pas pu résister. Pour contrer les fils de nouvelles noircis d'évènements tragiques. j'avais besoin de distractions différentes. Et comme la critique était assez positive (par exemple: "l'été s'égrène à toute vitesse et s'il fallait adouber un film estival jusqu'ici, on serait enclin à vous suggérer celui-ci" de Hugo Meunier dans La Presse.), j'ai été découvrir le troisième opus tout féminin de cette franchise fantomatique. Et j'ai bien apprécié ces moments par ce qu'ils valaient, soit une histoire divertissante et de bonnes performances d'actrices (Kristen Wiig, Melissa McCarthy, Leslie Jones et Kate McKinnon, mon coup de coeur). Il est possible aussi d'apprécier les clins d'oeil aux deux premiers chapîtres de cette série et je vous conseille, si vous vous y rendez, de rester jusqu'à la toute toute fin du générique.
Les fantômes ne sont peut-être pas parmi nous, mais il suffit de faire quelques pas pour en découvrir l'agréable présence sur un grand écran en 3D.
dimanche 17 juillet 2016
jeudi 14 juillet 2016
Sur mes pas estivals en danse: Les Installations Mouvantes investissent audacieusement la Place
Le début de journée pluvieux faisait craindre le pire. Pourrions-nous avoir droit à la présentation des "Installations Mouvantes" au Square Cabot ? Mais la pluie a cessé et les nuages se sont dispersés et moi, je me suis mis en route, par bus et métro achanlandés, pour aller tout là-bas dans ce Square que je commence à bien connaître. À mon arrivée, l'endroit est peu achanlandé et la gang de Mandoline Hybride (Priscilla Guy et Marc-André Poliquin à la danse, Laurence Sabourin-Laflamme et Benoit Paradis aux instruments musicaux) attend le moment pour commencer. La représentation à laquelle nous assisterons est pour souligner la mise ne place dans l'arrondissement Ville Marie de micro bibliothèque, soit des boîtes aux livres en lieu public pour prendre, laisser ou échanger un livre. Moi qui d'habitude voyage léger, cette fois, je m'y rendais avec un livre, comme quoi le destin est parfois surprenant. Une initiative du milieu qui va au devant du citoyen, tout à l'image de ce que nous pourrons découvrir dans les moments qui suivront.
Une fois l'annonce public faite, la musique se fait entendre, près du café de la place, d'abord l'accordéon (Laurence Sabourin-Laflamme) qui attire le regards des passants et ensuite celle du multi-instrumentiste, trombone et tambour (Benoit Paradis). Les gestes suivent et les interprètes entament leur prise de possession des lieux, livre à la main. Ils iront à la rencontre des gens assis ou des passants pour leur chuchotter à l'oreille une extrait de leur livre. Pour elle, il est rouge et pour lui il est bleu ou est-ce l'inverse ! Le lieu est passant et les gens décochent un regard à la performance et certains décident de rester, la foule se fait plus nombreuse. La valeur-ajoutée pour un observateur de ces performances in-situ est d'observer l'interaction performeurs et spectateurs et cette fois, elle était importante !
Photo: Harmonie Fortin-Léveillé
Photo: Harmonie Fortin-Léveillé
Ainsi donc, ces artistes qui investissent la place, ils vont au-devant, naviguant tout autour, comme l'avait fait l'explorateur Giovanni Caboto, au quinzième siècle jusqu'à chez nous (à Terre-Neuve). Les gestes sont affirmés, les gens sont souvent surpris par tant d'audace, mais jamais réfractaires. Ils amènent gestes et propos accompagnés par une musique appaisante. Nous aurons droit à un duo de danse sur la place, sur les bancs, à l'abreuvoir, et aussi à l'effeuillage public des pages de leurs livres qui lancé au vent, telles des bouteilles à la mer, seront ou pas recueillies. Une d'entre elles est entre mes mains et en voici un extrait, "-Tu n'aurais pas dû. - L'influence du féminisme, que veux-tu ! " Mais quel est donc ce roman ?
Le tout se termine, parce que toute bonne chose à une fin, au pied de la statut tout au milieu de la place,
Une performance qui utilise le livre et qui prend position dans tous les sens du terme, dans ce lieu et qui en prend possession, comme un livre avec nous lorsqu'on se donne la peine de l'ouvrir. Une oeuvre qui mériterait d'être présentée encore et encore, ici ou ailleurs. Pour la petite histoire, la responsable de l'arrondissement me mentionnait qu'elle avait décidé de programmer "Les Installations mouvantes", après l'avoir vu en France ! Le ciel est resté clément et je suis retourné chez moi satisfait et prêt à lire dans le métro archibondé de cette fin de journée d'été.
Photo: Harmonie Fortin-Léveillé
Une fois l'annonce public faite, la musique se fait entendre, près du café de la place, d'abord l'accordéon (Laurence Sabourin-Laflamme) qui attire le regards des passants et ensuite celle du multi-instrumentiste, trombone et tambour (Benoit Paradis). Les gestes suivent et les interprètes entament leur prise de possession des lieux, livre à la main. Ils iront à la rencontre des gens assis ou des passants pour leur chuchotter à l'oreille une extrait de leur livre. Pour elle, il est rouge et pour lui il est bleu ou est-ce l'inverse ! Le lieu est passant et les gens décochent un regard à la performance et certains décident de rester, la foule se fait plus nombreuse. La valeur-ajoutée pour un observateur de ces performances in-situ est d'observer l'interaction performeurs et spectateurs et cette fois, elle était importante !
Photo: Harmonie Fortin-Léveillé
Photo: Harmonie Fortin-Léveillé
Ainsi donc, ces artistes qui investissent la place, ils vont au-devant, naviguant tout autour, comme l'avait fait l'explorateur Giovanni Caboto, au quinzième siècle jusqu'à chez nous (à Terre-Neuve). Les gestes sont affirmés, les gens sont souvent surpris par tant d'audace, mais jamais réfractaires. Ils amènent gestes et propos accompagnés par une musique appaisante. Nous aurons droit à un duo de danse sur la place, sur les bancs, à l'abreuvoir, et aussi à l'effeuillage public des pages de leurs livres qui lancé au vent, telles des bouteilles à la mer, seront ou pas recueillies. Une d'entre elles est entre mes mains et en voici un extrait, "-Tu n'aurais pas dû. - L'influence du féminisme, que veux-tu ! " Mais quel est donc ce roman ?
Le tout se termine, parce que toute bonne chose à une fin, au pied de la statut tout au milieu de la place,
Une performance qui utilise le livre et qui prend position dans tous les sens du terme, dans ce lieu et qui en prend possession, comme un livre avec nous lorsqu'on se donne la peine de l'ouvrir. Une oeuvre qui mériterait d'être présentée encore et encore, ici ou ailleurs. Pour la petite histoire, la responsable de l'arrondissement me mentionnait qu'elle avait décidé de programmer "Les Installations mouvantes", après l'avoir vu en France ! Le ciel est resté clément et je suis retourné chez moi satisfait et prêt à lire dans le métro archibondé de cette fin de journée d'été.
mercredi 13 juillet 2016
Sur mes pas en danse et en musique; La Fanfare Pourpour et les soeurs Schmutt pour la fête
S'il m'arrive de regretter mes sorties estivales dans le grand théâtre de Verdure du Parc La Fontaine fermé pour se refaire une cure de jeunesse, ce soir, pas du tout de regret, je n'ai ressenti. Bien accompagné par des membres de ma famille dont mes deux petits-fils que j'initie à la chose culturelle, j'étais bien installé sur le gazon du Parc, juste à côté de ce théâtre à la vocation encore incertaine. Nous allions à la rencontre de la fanfare Pourpour et des soeurs Schmutt (et de leurs complices de mouvement pour l'occasion, Marie Mougeolle et Sarah Dell'Ava). Une soirée tout à fait estivale sur fond de gazon vert et de ciel bleu, tout cela en pleine ville, mais en même temps très lointaine.
Nos pas, une fois l'automobile bien stationnée, nous ont amené juste à l'endroit désigné. Une fois bien installé sur notre couverture, la Fanfare et Les Soeurs Schmutt, dans une procession toute musicale et gestuelle, ont pris possession des lieux pour les deux heures suivantes devant un public de tout âge. Nous avons eu droit à différentes pièces du répertoire de la Fanfare, régulièrement colorées par les mouvements des danseuses, sinon des spectateurs de tout âge. Il a été fascinant de constater l'évolution de la réaction du public présent. Au début, timide, il y a eu un homme qui s'est mis à la danse en phase parfaite avec les oeuvres musicalessur cette scène toute verte gazonnée. S'en est suivi de jeunes enfants, une relève assurée, et aussi d'autres adultes pour danser à cette soirée. Il y aura bien ceux et celles qui comme moi et mes petits-fils, resteront bien assis, mais nos hochements de corps et nos applaudissement exprimaient notre plaisir.
Une belle soirée extérieure fort réussie dans ma ville sur du vert musical et de mouvements qui tranche agréablement des cônes oranges qui ont "agrémenté" mon trajet pour m'y rendre.
Pour ceux et celles qui voudraient en profiter et je vous le recommande, je mets le lien des prochaines fois de la Fanfare.
http://www.fanfarepourpour.com/fr/concerts/a-venir/list.events/-
Nos pas, une fois l'automobile bien stationnée, nous ont amené juste à l'endroit désigné. Une fois bien installé sur notre couverture, la Fanfare et Les Soeurs Schmutt, dans une procession toute musicale et gestuelle, ont pris possession des lieux pour les deux heures suivantes devant un public de tout âge. Nous avons eu droit à différentes pièces du répertoire de la Fanfare, régulièrement colorées par les mouvements des danseuses, sinon des spectateurs de tout âge. Il a été fascinant de constater l'évolution de la réaction du public présent. Au début, timide, il y a eu un homme qui s'est mis à la danse en phase parfaite avec les oeuvres musicalessur cette scène toute verte gazonnée. S'en est suivi de jeunes enfants, une relève assurée, et aussi d'autres adultes pour danser à cette soirée. Il y aura bien ceux et celles qui comme moi et mes petits-fils, resteront bien assis, mais nos hochements de corps et nos applaudissement exprimaient notre plaisir.
Une belle soirée extérieure fort réussie dans ma ville sur du vert musical et de mouvements qui tranche agréablement des cônes oranges qui ont "agrémenté" mon trajet pour m'y rendre.
Pour ceux et celles qui voudraient en profiter et je vous le recommande, je mets le lien des prochaines fois de la Fanfare.
http://www.fanfarepourpour.com/fr/concerts/a-venir/list.events/-
mardi 12 juillet 2016
Sur mes pas au cinéma: "Au nom de ma fille" pour une histoire surprenante et Daniel Auteuil
Nous allons souvent au cinéma sur un coup de tête et une projection qui "tombe pile" à ce moment. En ce lundi soir de "deux pour un" au cinéma Beaubien (avec la carte Accès Montréal), ce fût "Au nom de ma fille" de Vincent Garenq. Je n'avais rien lu avant, sinon que la performance de Daniel Auteuil valait le déplacement.
Un film assez court, moins d'une heure trente, qui raconte la "folle" détermination d'un père pour faire reconnaître et appliquer la culpabilité d'un homme pour la mort de sa fille adolescente. Un combat obstiné de près de trente ans d'un père, tiré d'une situation réelle (dont la conclusion se passe en 2014), habilement résumé dans un scénario resserré qui nous garde captif et captivé. Le jeu de Daniel Auteuil est effectivement à la hauteur et nous rappelle que l'on peut ressentir ce qu'un personnage vit. Chantal Guy dans La Presse écrit fort justement, "Très émouvant dans son chagrin inconsolable, et plutôt inquiétant dans son obsession de pincer le coupable.".
Décidément, le hasard a bien fait les choses en ce lundi soir. Sur grand ou petit écran, "Au nom de ma fille" se doit d'être vu.
samedi 9 juillet 2016
Sur mes pas au cinéma; "Le goût des merveilles" qui fait du bien
C'est par la bande annonce que j'ai appris l'arrivée prochaine de ce film et la séduction avait commencé. Un film sur la rencontre d'une femme désemparée et d'un homme différent, interprétés par Virginie Efira et Benjamin Lavernhe, que je découvrais tous les deux pour la première fois. Il nous proposent des personnages crédibles et un jeu tout en nuance. Décidément mon deuxième film sur une rencontre en peu de temps ! L'histoire se passe dans la Drôme provencale, région sud-est de la France pour ceux qui comme moi ne le savait pas ! Le réalisateur, Éric Besnard, utilise tout aussi abondamment que justement les magnifiques paysages de cette région pour enrober cette histoire. Il prend le temps de nous montrer de longs plans de la nature et de nuages. Sur grand écran, c'est magnifique.
En entrée de jeu, la rencontre est improbable, la suite contient quelques invraisemblances et la fin, ça je n'en dit rien, mais cet hymne à la nature et à la différence plait. Comme l'écrit fort justement Marc-André Lussier dans La Presse, il doit être pris pour ce qu'il nous apportera, soit "en cette période troublée un peu de beauté, de candeur et d'innocence ...", Pour peu que l'on se laisse aller, les promesses de la bande annonce sont tenues et ces moments nous ferons le plus grand bien.
Pour ce week-end gris et pour les autres journées aussi, "Le goût des merveilles" est un beau film d'été sans prétention qui mérite le détour.
En entrée de jeu, la rencontre est improbable, la suite contient quelques invraisemblances et la fin, ça je n'en dit rien, mais cet hymne à la nature et à la différence plait. Comme l'écrit fort justement Marc-André Lussier dans La Presse, il doit être pris pour ce qu'il nous apportera, soit "en cette période troublée un peu de beauté, de candeur et d'innocence ...", Pour peu que l'on se laisse aller, les promesses de la bande annonce sont tenues et ces moments nous ferons le plus grand bien.
Pour ce week-end gris et pour les autres journées aussi, "Le goût des merveilles" est un beau film d'été sans prétention qui mérite le détour.
mardi 5 juillet 2016
Sur mes et peut-être vos pas en danse cet été, let's go, suivez mes pas !
On a beau dire que l'été est la saison morte de la danse, mais je ne suis pas "tout à fait d'accord" avec cette affirmation. Sans trop d'effort, je me suis fait un programme à partir du site Accès Culture de la ville de Montréal. Des oeuvres gratuites que j'ai déjà vu et d'autres inédites pour moi et l'agenda est assez occupé. Pour mon centième texte sur ce blogue, je vous propose des sorties toutes aussi intéressantes que prometteuses. Oui, oui, cent textes, je me pince, en moins de sept mois et en plus, j'ai des lecteurs !!!
Débutons la liste avec "Entrelacs" de la compagnie Alt-Shift (Anne Flore de Rochambeau et Liliane Moussa), oeuvre qui dans le Quartier des Spectacles m'avait inspiré l'an dernier et qui mérite une deuxième fois. Pour ce faire, c'est au Square Cabot, juste à côté de la station de métro Atwater, le 19 juillet à 19h00 et 20h00.
Aussi "Trame" d'Atypique-Le Collectif d'une gang qui me surprend à chaque fois. À voir au Parc Médéric-Martin (coin des rues Hochelaga et Gascon), le 12 juillet (19h00), sur la Place Jacques-Cartier le 13 juillet (18h00) et au Square Cabot le 26 juillet (19h00).
Dans le beau parc Lafontaine, le 27 juillet,, "Le petit chaperon rouge" de Tony Chung Danse. À défaut de pouvoir présenter des oeuvres de danse dans le Théâtre de Verdure, la Ville de Montréal nous ne laisse pas tomber complètement. Après un bon souper pas loin, à 20h30 ou 21h30, il est possible de redécouvrir ce conte qui nous a accompagné juste avant de dormir quand nous étions jeunes. On nous conseille d'apporter notre chaise.
Piano public et danse se rencontrent à la Place de Castelneau (intersection De Castelneau et St-Hubert, un peu au nord de Jean-Talon), les 24 juillet à 14h00 et 16 août à 19h00."Le pianiste jazz Jonathan Cayer aura comme compagnons les danseurs Simon Ampleman et Romain Galhaiguet (Bboy Vibz) pour cette rencontre impromptue entre piano public et danses de rue."
Il y aura aussi comme je l'ai déjà écrit dans un texte précédent, "Entre" d'Aurélie Pedron, dont l'abri sera de nouveau érigé au Parc Joseph-François Perreault (juste à côté de chez moi) le samedi 6 août entre 18h00 et 21h00.
Et encore "Cube" de Zogma le 27 juillet (19h00) au parc Gohier (près de la station de métro du Collège) dans l'arrondissement St-Laurent.
En terminant, je vous propose deux autres incontournables.
"Les Installations Mouvantes" de Mandoline Hydride (Priscilla Guy) au Square Cabot qui est une déambulatoire qui méritera sûrement les pas pour nous y rendre le 14 juillet à 16h45. Une première ici au Québec pour cette oeuvre.
Et terminant, une de mes compagnies chou-chou, Les Soeurs Schmutt" avec la Fanfare Pourpour nous propose un concert sur l'herbe près du Théâtre de la Verdure du Parc Lafontaine le 13 juillet prochain à 19h00. Une thérapie visuelle et auditive qu'il ne faut pas rater.
Et maintenant qui dit que l'été était une saison morte pour la danse ?
Besoin d'un lien ? Le voici.
http://www.accesculture.com/
Débutons la liste avec "Entrelacs" de la compagnie Alt-Shift (Anne Flore de Rochambeau et Liliane Moussa), oeuvre qui dans le Quartier des Spectacles m'avait inspiré l'an dernier et qui mérite une deuxième fois. Pour ce faire, c'est au Square Cabot, juste à côté de la station de métro Atwater, le 19 juillet à 19h00 et 20h00.
Aussi "Trame" d'Atypique-Le Collectif d'une gang qui me surprend à chaque fois. À voir au Parc Médéric-Martin (coin des rues Hochelaga et Gascon), le 12 juillet (19h00), sur la Place Jacques-Cartier le 13 juillet (18h00) et au Square Cabot le 26 juillet (19h00).
Dans le beau parc Lafontaine, le 27 juillet,, "Le petit chaperon rouge" de Tony Chung Danse. À défaut de pouvoir présenter des oeuvres de danse dans le Théâtre de Verdure, la Ville de Montréal nous ne laisse pas tomber complètement. Après un bon souper pas loin, à 20h30 ou 21h30, il est possible de redécouvrir ce conte qui nous a accompagné juste avant de dormir quand nous étions jeunes. On nous conseille d'apporter notre chaise.
Piano public et danse se rencontrent à la Place de Castelneau (intersection De Castelneau et St-Hubert, un peu au nord de Jean-Talon), les 24 juillet à 14h00 et 16 août à 19h00."Le pianiste jazz Jonathan Cayer aura comme compagnons les danseurs Simon Ampleman et Romain Galhaiguet (Bboy Vibz) pour cette rencontre impromptue entre piano public et danses de rue."
Il y aura aussi comme je l'ai déjà écrit dans un texte précédent, "Entre" d'Aurélie Pedron, dont l'abri sera de nouveau érigé au Parc Joseph-François Perreault (juste à côté de chez moi) le samedi 6 août entre 18h00 et 21h00.
Et encore "Cube" de Zogma le 27 juillet (19h00) au parc Gohier (près de la station de métro du Collège) dans l'arrondissement St-Laurent.
En terminant, je vous propose deux autres incontournables.
"Les Installations Mouvantes" de Mandoline Hydride (Priscilla Guy) au Square Cabot qui est une déambulatoire qui méritera sûrement les pas pour nous y rendre le 14 juillet à 16h45. Une première ici au Québec pour cette oeuvre.
Et terminant, une de mes compagnies chou-chou, Les Soeurs Schmutt" avec la Fanfare Pourpour nous propose un concert sur l'herbe près du Théâtre de la Verdure du Parc Lafontaine le 13 juillet prochain à 19h00. Une thérapie visuelle et auditive qu'il ne faut pas rater.
Et maintenant qui dit que l'été était une saison morte pour la danse ?
Besoin d'un lien ? Le voici.
http://www.accesculture.com/
samedi 2 juillet 2016
Sur mes pas au cinéma; "2 nuits jusqu'au matin" pourquoi pas !
Toute rencontre est unique, mais celle que nous propose Mikko Kuparinen en est un bel exemple intéressant, soit celle de la rencontre d'un homme et d'une femme sur fond d'ambiguïté. L'ambiguïté du titre, celle des sentiments montrés ou non, celle encore des motivations à agir de part et d'autre, celle enfin de la relation à établir. Cette rencontre improbable a lieu loin de leurs foyers. Architecte en fin de mandat, elle est coincée dans cette ville balte (Vilnius en Lituanie) par un nuage de poussières qui tient tous les avions au sol. Lui, qui est-il et ce qu'il y fait ? Nous le découvrons plus tard.
Les différents épisodes de cette rencontre sont présentés en toute simplicité. Ce qui nous permet de suivre l'évolution des sentiments mutuels des deux protagonistes avec une économie de paroles et surtout une abondance d'éloquents non-dits. La vie réserve parfois des surprises, mais aussi des opportunités et bien malin sera celui qui pourra prédire ce qu'il adviendra suite à cette première rencontre. Il est cependant évident qu'elle est décisive pour les deux et que l'on veut savoir.
Portées par une très belle bande sonore et les superbes images de ce coin d'Europe, les performances de Marie-Josée Croze (envoutante et mystérieuse) et Mikko Nousiainen (intrigant), cette rencontre maintient l'intérêt malgré le thème maintes fois présenté au grand écran.
Les différents épisodes de cette rencontre sont présentés en toute simplicité. Ce qui nous permet de suivre l'évolution des sentiments mutuels des deux protagonistes avec une économie de paroles et surtout une abondance d'éloquents non-dits. La vie réserve parfois des surprises, mais aussi des opportunités et bien malin sera celui qui pourra prédire ce qu'il adviendra suite à cette première rencontre. Il est cependant évident qu'elle est décisive pour les deux et que l'on veut savoir.
Portées par une très belle bande sonore et les superbes images de ce coin d'Europe, les performances de Marie-Josée Croze (envoutante et mystérieuse) et Mikko Nousiainen (intrigant), cette rencontre maintient l'intérêt malgré le thème maintes fois présenté au grand écran.
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