Pendant que les dernières effluves estivales se dissipent et avant que la programmation automnale se mette vraiment en branle, le théâtre La Chapelle (qui ne semble pas, lui, prendre de vacances !) nous propose en levée de rideau "Tshishikushkueu, d'après Bleuets et Abricots" de Natasha Kanapé Fontaine, que je me propose de lire prochainement. Et à cette invitation, j'ai répondu présent et je m'y suis rendu, fort heureux de l'avoir fait.
Tirée du site du La Chapelle
Le texte de présentation, disponibles sur le site du La Chapelle, sur les moments à venir sont fort instructifs, voilà donc pourquoi je vous le présente: "Natasha Kanapé Fontaine adapte pour la scène son recueil de poésie Bleuets et Abricots. Tshishikushkueu, la Femme de l’Espace, est libérée du silence et réclame à se reconnecter au peuple Innu. Un processus de reconstruction, une migration dans une reconquête de soi et de la culture Innu ancestrale de l’artiste. Une cérémonie unique, où le poème devient le tambour de l’invocation sur une scène habitée par l’interprète et hantée par les ancêtres.".
Durant les différents tableaux qui composeront cette rencontre, elle fera d'abord le tour de son territoire délimité par un fil rouge. Elle s'adressera à nous en français, mais aussi dans sa langue innu, fort belle de sa musicalité et de tout l'espace qu'elle nous donne pour l'interpréter. Elle investira la place en prenant le temps de "prendre sa place" ! Elle chantera aussi de sa voix toute simple, mais riche de sa sincérité. Elle partagera avec nous des bleuets, mais surtout, et c'est pour moi le moment fort de cette rencontre, de se joindre à elle (ce que feront ceux et celles présent.es) pour appeler vers la fin Papakassik, le « Maître du caribou » et espérer un avenir meilleur.
De cette belle et simple rencontre avec cette femme qui "je sais dire, je suis", j'en reviens heureux. De "son" parcours initiatique fait devant moi, j'en retiens la douceur de sa détermination, de son affirmation et de son espoir. Et cela me fait grand bien. Je retiens aussi, le spectre des émotions ressenties et la fragilité montrée lorsqu'elle hésite en chantant avant de poursuivre avec son sourire de celle qui se sait faillible, mais déterminée à aller de l'avant. Mais au final, si on doit se rendre à sa rencontre, c'est pour découvrir sa présence si rayonnante tout comme la lune qui nous apparaît en arrière scène et comme sa robe qui conclue notre rencontre. Merci Natasha !
vendredi 30 août 2019
mardi 20 août 2019
Sur mes derniers pas au ZH Festival 2019: Un beau programme double riche de son contraste
En ce mercredi soir d'un mois d'août tout à fait conforme à l'idée que l'on peut se faire d'un été dans l'hémisphère nord de notre planète terre, mes pas m'ont porté pour une cinquième et dernière fois jusqu'aux portes de la Maison de la Culture Maisonneuve pour assister au ZH Festival.
Au programme deux œuvres chorégraphiques "Au revoir zébu" de et avec Claudia Chan Tak et "Elles : Work in progress" de Andrea Pena avec Roxanne Dupuis, Eryn Tempest, Janelle Hacault, Kaitlyn Ramsden et Marijoe Foucher. Dans le hall d'entrée, la foule est, encore cette fois, fort nombreuse. Au hasard des rencontres, deux artisans me parlent de façon fort enthousiasme d'une oeuvre à venir cet automne ( "Camille: Un rendez-vous au-delà du visuel" d'Audrey-Anne Bouchard présenté au MAI). Pour la petite histoire, suite à cette soirée, je me suis procuré mon billet et vous devriez le faire vous aussi ! Mais revenons au propos premier de ce texte, soit les deux œuvres de la soirée !!!!
Tirée du site du ZH Festival
À mon entrée dans la salle, je trouve ma place, en première rangée, tout juste à côté de Claudia Chan Tak, assise elle aussi, tout proche de moi avec, devant elle, sa tête d'un animal tout argenté mais qui semble si loin, dans ses souvenirs sûrement, ceux de sa grand-mère paternelle, comme il l'est écrit dans la description de l'oeuvre. Les sièges trouvent place à côté et derrière moi et une fois la salle bien pleine, les lumières se font discrètes. Elle se lève lentement et se dirige vers la scène où se trouve des rayons de tissus qui composent la robe promis à son aïeule, occupent toute la scène qui compose. Impossible de ne pas remarquer les éclats toutes couleurs flamboyantes de ces tissus dont elle fait d'abord tout le tour. Sa marche a tout du début d'un rituel fort solennel avec son regard qui va vers là-haut et qui y entraîne le nôtre. Et de la périphérie, elle se rapproche du centre tout en rotation. Et puis elle prend place dans la robe et encore par rotations, elle amène à elle tous ces tissus déployés. dans le tableau que j'ai préféré. Comme nous pourrions l'imaginer de cette femme appelant à elle sa famille. L'effet esthétique de ces rayons de tissu qui se rapprochent peu à peu est fort surprenant et éminemment beau. Le tout est riche en symbolique et en introspection. Et puis arrive le moment du départ, fort de sa simplicité. Merci Claudia pour ces moments !
Une fois la pause terminée, nous reprenons place dans la salle avec une rangée en moins pour découvrir "Elles : work in progress" qui débute par l'arrivée en scène des interprètes toutes de blanc et gris vêtues. La suite se présente, sur une musique percussive fort efficace, différents tableaux d'une oeuvre assez classique. Nous découvrons, par exemple, comment le vent peut porter les corps ou comment l'effet d'entraînement peut se propager d'un corps à l'autre. Comment la cohésion dans un groupe se fait ou se défait. Avec une gestuelle assez formelle, bien portée par les corps des interprètes, relativement facile de se faire son histoire avec les différents chapitres qui nous sont proposés. "Elles : work in progress" est une oeuvre accessible qui a, de ma perspective, les "ailes" qu'il faut pour prendre son envol sur d'autres scènes.
Une dernière sortie fort bien réussie pour cette onzième édition du ZH Festival.
Au programme deux œuvres chorégraphiques "Au revoir zébu" de et avec Claudia Chan Tak et "Elles : Work in progress" de Andrea Pena avec Roxanne Dupuis, Eryn Tempest, Janelle Hacault, Kaitlyn Ramsden et Marijoe Foucher. Dans le hall d'entrée, la foule est, encore cette fois, fort nombreuse. Au hasard des rencontres, deux artisans me parlent de façon fort enthousiasme d'une oeuvre à venir cet automne ( "Camille: Un rendez-vous au-delà du visuel" d'Audrey-Anne Bouchard présenté au MAI). Pour la petite histoire, suite à cette soirée, je me suis procuré mon billet et vous devriez le faire vous aussi ! Mais revenons au propos premier de ce texte, soit les deux œuvres de la soirée !!!!
Tirée du site du ZH Festival
À mon entrée dans la salle, je trouve ma place, en première rangée, tout juste à côté de Claudia Chan Tak, assise elle aussi, tout proche de moi avec, devant elle, sa tête d'un animal tout argenté mais qui semble si loin, dans ses souvenirs sûrement, ceux de sa grand-mère paternelle, comme il l'est écrit dans la description de l'oeuvre. Les sièges trouvent place à côté et derrière moi et une fois la salle bien pleine, les lumières se font discrètes. Elle se lève lentement et se dirige vers la scène où se trouve des rayons de tissus qui composent la robe promis à son aïeule, occupent toute la scène qui compose. Impossible de ne pas remarquer les éclats toutes couleurs flamboyantes de ces tissus dont elle fait d'abord tout le tour. Sa marche a tout du début d'un rituel fort solennel avec son regard qui va vers là-haut et qui y entraîne le nôtre. Et de la périphérie, elle se rapproche du centre tout en rotation. Et puis elle prend place dans la robe et encore par rotations, elle amène à elle tous ces tissus déployés. dans le tableau que j'ai préféré. Comme nous pourrions l'imaginer de cette femme appelant à elle sa famille. L'effet esthétique de ces rayons de tissu qui se rapprochent peu à peu est fort surprenant et éminemment beau. Le tout est riche en symbolique et en introspection. Et puis arrive le moment du départ, fort de sa simplicité. Merci Claudia pour ces moments !
Une fois la pause terminée, nous reprenons place dans la salle avec une rangée en moins pour découvrir "Elles : work in progress" qui débute par l'arrivée en scène des interprètes toutes de blanc et gris vêtues. La suite se présente, sur une musique percussive fort efficace, différents tableaux d'une oeuvre assez classique. Nous découvrons, par exemple, comment le vent peut porter les corps ou comment l'effet d'entraînement peut se propager d'un corps à l'autre. Comment la cohésion dans un groupe se fait ou se défait. Avec une gestuelle assez formelle, bien portée par les corps des interprètes, relativement facile de se faire son histoire avec les différents chapitres qui nous sont proposés. "Elles : work in progress" est une oeuvre accessible qui a, de ma perspective, les "ailes" qu'il faut pour prendre son envol sur d'autres scènes.
Une dernière sortie fort bien réussie pour cette onzième édition du ZH Festival.
lundi 12 août 2019
Sur mes autres pas au ZH Festival: Un laboratoire qui augure de beaux jours à venir
La foule se pressait fort nombreuse dans le hall d'entrée de la Maison de la Culture Maisonneuve pour découvrir "La fin des haricots / The end of beans" de "La Fratrie" (Alex Trahan, Erika Mathieu et Patrick Lacharité). En ce samedi soir, un public de tout âge, fort diversifié qui, à quelques instants de prendre place dans la salle, on rappelle que nous assisterons à un "laboratoire" suite à une trentaine d'heures de travail et que les artisans seront fort intéressés, par la suite à obtenir nos commentaires, autour d'une bière. Cela dit, les portes s'ouvrent et nous trouvons place pendant que devant nous, sur grand écran nous est présenté, en boucle, des images d'un party. Sur la scène, une tente dans le coin arrière droit et une "matière noire et blanche (sinon grise) avec des monticules à certains endroits.
Tirée du site de La Fratrie
Et puis la projection vidéo se fait discrète et les lumières dans la salle tout juste après ! Sors de la tente, un homme (Patrick Lacharité) qui entame un monologue post apocalyptique, mettant la table à "La fin des haricots" ! Seul devant nous dans une tirade fort riche (un peu trop rapidement déclinée, selon moi compte tenu de la richesse et la solennité du propos !), il nous captive. Et puis, le sol autour de lui, se met à bouger et des êtres en émergent. La suite, un peu toute mêlée dans ma tête, nous présente différents tableaux alternant des moments drôles et d'autres plus solennels. On nous annonçait dans le texte de présentation une ligne du temps brisée et pour cela l'effet est réussie, même si au final, la trame dramaturgique "brisée" m'a quelquefois déstabilisé et aussi laissé pantois.
J'apprécie particulièrement certains tableaux, dont celui "You can dance" traduit en simultané et ceux aussi qui nous demandent de revenir dans le temps (lire ici un tableau précédent) pour rejoindre le bout de cette ligne. Autant les prestations théâtrales (Patrick Lacharité, Catherine Paquin Béchard et Alexandre Lavigne) que chorégraphiques (Alexia Martel et Jossua Collin Dufour) tout au long de la présentation des tableaux supportent fort bien le propos. Même lors des brisures de rythme, ils réussissent à nous remettre en selle. J'ai aussi beaucoup apprécié les tableaux qui nous apportent des précisions ou des éléments à un autre qui l'a précédé.
Une oeuvre qui amalgame fort bien le théâtre et la danse dans un monde "tout brisé" de fin d'humanité qui, malgré tout a devant elle, de l'avenir.
Tirée du site de La Fratrie
Et puis la projection vidéo se fait discrète et les lumières dans la salle tout juste après ! Sors de la tente, un homme (Patrick Lacharité) qui entame un monologue post apocalyptique, mettant la table à "La fin des haricots" ! Seul devant nous dans une tirade fort riche (un peu trop rapidement déclinée, selon moi compte tenu de la richesse et la solennité du propos !), il nous captive. Et puis, le sol autour de lui, se met à bouger et des êtres en émergent. La suite, un peu toute mêlée dans ma tête, nous présente différents tableaux alternant des moments drôles et d'autres plus solennels. On nous annonçait dans le texte de présentation une ligne du temps brisée et pour cela l'effet est réussie, même si au final, la trame dramaturgique "brisée" m'a quelquefois déstabilisé et aussi laissé pantois.
J'apprécie particulièrement certains tableaux, dont celui "You can dance" traduit en simultané et ceux aussi qui nous demandent de revenir dans le temps (lire ici un tableau précédent) pour rejoindre le bout de cette ligne. Autant les prestations théâtrales (Patrick Lacharité, Catherine Paquin Béchard et Alexandre Lavigne) que chorégraphiques (Alexia Martel et Jossua Collin Dufour) tout au long de la présentation des tableaux supportent fort bien le propos. Même lors des brisures de rythme, ils réussissent à nous remettre en selle. J'ai aussi beaucoup apprécié les tableaux qui nous apportent des précisions ou des éléments à un autre qui l'a précédé.
Une oeuvre qui amalgame fort bien le théâtre et la danse dans un monde "tout brisé" de fin d'humanité qui, malgré tout a devant elle, de l'avenir.
mercredi 7 août 2019
Sur mes autres pas au ZH Festival: Un programme double en pas de danse qui en promettent d'autres.
Pour cette soirée, "programme double", deux oeuvres que j'avais vues dans une première ébauche, il y a peu de temps ( le 29 mars 2019) à la première édition de « Boomerang-Danses partagées ». Les deux m'avaient fait bonne impression (https://surlespasduspectateur.blogspot.com/2019/04/ces-jeunes-qui-font-du-bien-voir-danser.html). Par conséquent, j'étais présent,tel que promis, pour découvrir les plus récentes moutures de "Fjord" (présentée initialement sous le titre de "Ellipses") de Stefania Skoryna avec Miranda Chan, Salina Léna Demnati et Mathilde Heuzé en première partie et "Sans rien forcer" d'Hélène Remoué avec Cara Roy.
Tirée du site de ZH Festival
Pour découvrir ses deux oeuvres, il faut d'abord attendre à l'extérieur de la Maison de la Culture Maisonneuve, "because", présentation d'une "lecture" en cours dans la Grande salle. Une petite ondée produit une entrée dans le tout petit hall dans lequel nous nous retrouvons tout entassés, mais "ouf", le moment est presque arrivé. Le moment venu, nous montons jusqu'au "Cube" qui rapidement manque de sièges. La réaction est rapide des organisateurs et tous et toutes ont un siège lorsque les lumières se font discrètes.
Devant nous, apparaissent trois femmes tout de noir vêtues, avec des pantalons de largeur différent, l'une derrière l'autre sur un plancher de bois. De ma première interprétation qui me faisait écrire "J’y ai vu des allers retours de notre univers modulé par l’aller du Bing Bang et du retour « ensemble » et implosif du Big Crush", cette fois, mon interprétation est assez différente. Cette fois, avec leurs gestes amples, ces trois femmes, telles des notes noires, nous proposent leurs déplacements sur une partition musicale fort efficace de Victor De Coninck. Ensemble, "en phase" ou parfois avec l'une d'entre elles en "solo", ces femmes me montrent en beaux gestes et en mouvements harmonieux, comment une partition musicale peut s'incarner sur scène. J'y ai vu aussi un prélude à une oeuvre plus longue, un "fjord" qui nous amène à la grande étendue, "la mer". Et arrive le moment que la "valse" des notes riche de ses bras tellement expressifs, retournent au bercail et au calme de sa noirceur si riche et des applaudissements fort bien mérités qui ont suivi.
Une fois l'entracte terminé, les lumières se font d'abord discrètes pour disparaître. Nous apparaît, tout à coup, une femme (Cara Roy) dont les déplacements sont d'abord éclairés par la lumière verte qu'elle a en main. Si l'intensité que j'avais ressentie la première fois, le message me semble quelque peu différent. Comme annoncé, celle qui évolue devant moi, "devient métronome, composant et décomposant une pulsation entêtante. Un solo puissant (oh que oui !) dans un univers aussi coloré que décalé" et captivant aussi ! Aller jusqu'au bout, coûte que coûte avec plein de fausses pistes dramaturgiques (fort plaisantes !) et d'une illustration du "supplice de la goutte d'eau", voilà ce que je découvre durant la vingtaine de minutes que dure l'oeuvre, suivie des applaudissements fort bien mérités.
Et moi par après, je redescend tout en bas de l'immeuble, conservant entre-temps plein de beaux mouvements fort évocateurs.
Tirée du site de ZH Festival
Pour découvrir ses deux oeuvres, il faut d'abord attendre à l'extérieur de la Maison de la Culture Maisonneuve, "because", présentation d'une "lecture" en cours dans la Grande salle. Une petite ondée produit une entrée dans le tout petit hall dans lequel nous nous retrouvons tout entassés, mais "ouf", le moment est presque arrivé. Le moment venu, nous montons jusqu'au "Cube" qui rapidement manque de sièges. La réaction est rapide des organisateurs et tous et toutes ont un siège lorsque les lumières se font discrètes.
Devant nous, apparaissent trois femmes tout de noir vêtues, avec des pantalons de largeur différent, l'une derrière l'autre sur un plancher de bois. De ma première interprétation qui me faisait écrire "J’y ai vu des allers retours de notre univers modulé par l’aller du Bing Bang et du retour « ensemble » et implosif du Big Crush", cette fois, mon interprétation est assez différente. Cette fois, avec leurs gestes amples, ces trois femmes, telles des notes noires, nous proposent leurs déplacements sur une partition musicale fort efficace de Victor De Coninck. Ensemble, "en phase" ou parfois avec l'une d'entre elles en "solo", ces femmes me montrent en beaux gestes et en mouvements harmonieux, comment une partition musicale peut s'incarner sur scène. J'y ai vu aussi un prélude à une oeuvre plus longue, un "fjord" qui nous amène à la grande étendue, "la mer". Et arrive le moment que la "valse" des notes riche de ses bras tellement expressifs, retournent au bercail et au calme de sa noirceur si riche et des applaudissements fort bien mérités qui ont suivi.
Une fois l'entracte terminé, les lumières se font d'abord discrètes pour disparaître. Nous apparaît, tout à coup, une femme (Cara Roy) dont les déplacements sont d'abord éclairés par la lumière verte qu'elle a en main. Si l'intensité que j'avais ressentie la première fois, le message me semble quelque peu différent. Comme annoncé, celle qui évolue devant moi, "devient métronome, composant et décomposant une pulsation entêtante. Un solo puissant (oh que oui !) dans un univers aussi coloré que décalé" et captivant aussi ! Aller jusqu'au bout, coûte que coûte avec plein de fausses pistes dramaturgiques (fort plaisantes !) et d'une illustration du "supplice de la goutte d'eau", voilà ce que je découvre durant la vingtaine de minutes que dure l'oeuvre, suivie des applaudissements fort bien mérités.
Et moi par après, je redescend tout en bas de l'immeuble, conservant entre-temps plein de beaux mouvements fort évocateurs.
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