mardi 20 juin 2017

Sur mes pas au cinéma: des "Folles de joie" qui ont plutôt des airs de femmes de rêves.

Il y a quelque chose de spécial de se rendre au cinéma en avant-midi (10 h 00) pour assister à une projection. Une petite sensation de culpabilité ( non justifiée, je vous rassure, puisqu'en vacances), sinon de différence. Ainsi donc, avec quatre autres cinéphiles, je prend place dans la salle 1 de mon cinéma Beaubien pour rencontrer ces "Folles de joie" ( "La pazza gioia") de Paolo Virzi avec en avant-scène Valeria Bruni Tedeschi (magistrale) et  Micaela Ramazzotti (convaincante). Des femmes qui ont des rêves, mais aussi quelques problèmes.



Les critiques comparent ce film avec le classique "Thelma et Louise" et je leur fais confiance, puisque ce classique américain, je ne l'ai pas vu. Mais, ce n'est pas la raison qui m'amené à cette projection,parce que moi, Valeria Bruni Tedeschi depuis "5 x 2" de François Ozon (en 2003) et le très léger "Crustacés et coquillages" d'Olivier Ducastel et Jacques Martineau,en 2005, je la "suis". Il y a dans la physionomie et le jeu de cette actrice quelque chose qui m'attire. 

Ainsi donc, je me rends la revoir dans "Folles de joie"et tout au long de cette histoire, je suis fasciné, encore une fois, par sa performance. Cette fois, elle me propose une performance magistrale. En résumé, elle porte ce film,jusqu'à ce que sa complice ( Micaela Ramazzotti), la relaie pour la finale.

Une histoire aux épisodes abracadabrants, mais qui nous gardent intéressés. Une histoire qui peut nous faire faire réfléchir. Une histoire qui devrait nous toucher aussi et qui moi, m'a touché. 

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