Les représentations en salle ont beau avoir repris leur place dans mon agenda, et m'occuper "pas mal", l'invitation de Danse Danse pour découvrir "en ligne", une proposition du chorégraphe Ohad Naharin, je l'ai accepté rapidement. C'est donc bien installé devant mon écran, que je débute mon visionnement.
Une fois le titre apparu visuellement et sonorement, nous découvrons, sur fond noir, les interprètes avec leur maillot noir, immobiles. Et puis dans l'heure qui suivra, ils et elles en solo, en duo ou en groupe, évoluent et interagissent sur scène comme des notes sur une partition. Des notes bien vivantes, utilisant l'espace pour l'habiter comme dans un récital. La qualité technique des ces interprètes est époustouflante et je reste bouche bée devant le grand écart que tout.es font. Je suis tout à fait d'accord avec cette phrase du descriptif de l'oeuvre sur le site de Danse Danse, "Porté par la musique intemporelle d'Isao Tomita, cette fusion de disciplines et d'expressions créatives nous transportent naturellement dans un univers futuriste et énigmatique."
Tirée du site de Danse Danse
Malgré la petitesse de mon écran, le plaisir est présent et je suis resté fasciné tout au long par les mouvements et les gestes de ces "notes vivantes sur une portée".
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