mercredi 5 février 2025

Sur mes pas à une rencontre "Midi-Coulisses", présentée par l'Agora de la Danse pour découvrir "Lame de fond" en évolution !

 En ce mercredi matin quelque peu frisquet, mes pas se dirigent jusqu'au Wilder pour assister à une rencontre "Midi-Coulisses" de la gang de l'Agora de la Danse. Bon, avant d'aller plus loin, vous vous demanderez peut-être ce qu'est un "Midi-Coulisses".  Juste pour ceux et celles-là, voici ce qu'on peut lire sur le site de l'Agora, "Entrez dans les coulisses du spectacle et dialoguez avec l’équipe artistique une semaine avant la première.". Des moments précieux pour moi parce que tout n'étant pas décidé, je pourrai peut-être y apporter ma toute petite contribution, via une suggestion !

Mais commençons par le début, soit mon arrivée à la porte de l'espace Bleu avec, compte tenu de mon arrivée hâtive, quelques autres personnes dont des gens de l'Agora. Pendant que j'attends d'autres arrivent et la porte s'ouvre. Et "surprise (!), je me dirige à "mon" siège en première rangée.

Le moment venu, nous sommes accuilli.es par Frédérique Doyon qui dans un premier temps présente les membres de l'équipe déjà dans l'espace scénique, Milan Gervais la chorégraphe et les interprètes, Jessica Serli, Marine Rixhon, Giverny Welsch, Sara Hanley et les autres aussi. Nous avons droit aux prémisses de la création de cette oeuvre, des choix esthétiques (dont le type d'éclairage et de son effet sur les costumes) et du travail encore à faire d'ici la présentation de l'oeuvre (dans une semaine). Et aussi de la raison pour laquelle la chorégraphe est passée des lieux publics (et dont j'avais vu la grande majorité de ces créations !) à un lieu fermé (la boîte noire, comme elle l'indique !) pour nous présenter une proposition qui nous entraîne dans ce qui illustre les "forces invisibles qui habitent le corps féminin d’aujourd’hui." ! 

                                      Crédit: Julie Artacho, tirée du site de L'Agora de la danse

Et puis, le tout débute ! J'y découvre des mouvements qui comme un coeur qui bat, me montrent des pulsations et des rythmes de différentes natures qui évoluent dans tout l'espace scénique. Je ressens tout au long du court extrait, une plongée dans l'intérieur  d'un univers intime avec aussi des voix (à peine audibles) qui comptent et qui rehaussent l'effet que je ressens. Et puis le tout s'arrête !

Il s'en suit une courte période d'échanges durant laquelle nous pouvons transmettre nos impressions et nos suggestions (dont une de moi !) qui sont écoutées avec intérêt par la chorégraphe.

Voilà de courts moments qui augurent fort bien pour la présentation finale. Et moi évidemment, avec mon billet déjà en poche, j'ai bien hâte de la découvrir. Mais patience Robert, il te faudra attendre une semaine pour découvrir "La lame de fond" dans l'Espace bleu du Wilder. Impossible de ne pas en ressentir, dans cet espace bleu, la symbolique avec la vraie nature d'une lame de fond avec les différentes vagues qui la compose !

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