jeudi 11 avril 2024

Sur mes pas à la rencontre de Spicey (alias Alexandra Landé) dans Mōnad au La Chapelle !

 Lorsque mes pas m'ont amené pour découvrir la proposition d'Alexandra "Spicey" Landé, ça serait pour une façon différente de la rencontrer, parce que les deux fois précédentes, elle était assis proche de moi dans les estrades pour découvrir une proposition. Cette fois, pour la troisième, elle sera sur scène devant moi pour nous présenter son solo Mōnad au La Chapelle, présenté par Danse-Cité. Arrivé tôt, je vois peu à peu le hall d'entrée et la salle adjacente se gorger de spectateurs et spectatrices en attente de l'ouverture des portes de la salle de présentation. De ma place, je peux entendre les sons qui résonne en dedans. À l'ouverture des portes et mon billet scanné, je me dirige à "mon" siège en première rangée. Je découvre devant moi, déjà en mouvements, Spicey, comme en incantation. Dans l'espace scénique, je découvre certains items dont une machine à coudre et une dactylo aussi. La musique, produite par son complice à l'arrière, Jai Nitai Lotus, accompagne ses gestes, les porte suis-je tenté de mieux d'affirmer !

                                            Affiche de la présentation, crédit: Kinga Michalska

Et puis avec la salle, comble de spectateurs, spectatrices, la présentation commence formellement. Il s'en suit de ses mouvements qui arpentent le lieu de façon fort belle ! De tout au long, j'en retiens son dialogue avec son complice musicien-chanteur et aussi et surtout de l'utilisation du rouleau de papier dont elle s'entoure pour en faire un allier, sinon une protecteur.  Ce rouleau servira aussi à enrichir l'estrade qui en se déroulant, nous emballera (dans tous les sens du terme !). Aussi de ce moment, où utilisant sa force de persuasion fort gentille, elle nous fait tout.es lever les bras dans les airs, comme des flammes participant à cette rencontre avec "the roof is on fire" ! 

De celle dont j'avais, depuis plusieurs années, découvert les propositions par des interprètes, cette fois, avec une présence assumée et rayonnante, elle investie la scène pour attendre son but "de poser un regard vibrant sur les relations au sein d’univers interreliés, et questionne la notion d’éternité." 

Et oui, elle utilisera la machine à coudre et la dactylo, mais pour savoir pourquoi et comment dans cette proposition, il faudra y être, dans la salle. 

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