Il y avait dans cette proposition de l'Usine C de quoi allumer la mèche de mon intérêt et cela inclut, le créateur, Philippe Boutin, l'affiche de la soirée et la présence de deux interprètes en danse, Frédérique Rodier et Jontae McCrory. Et comme mon agenda avait une place libre, je me suis procuré mon billet. À mon arrivée dans la salle, il y a toute cette gang (Amara Barner, Jaleesa Coligny, Larissa Corriveau, Sage Fabre-Dimsdale, Misheel Ganbold, Valmont Harnois, Simon Landry-Désy, Jontae McCrory, Christophe Payeur, Clara Prévost, Viktor Proulx, Nikolas Pulka et Frédérique Rodier) déjà sur scène et je trouve ma place.
Affiche de la soirée tirée du site de l'Usine CEt lorsque je sortirai de la salle, deux heures plus tard, je ne serai pas capable de dire que j'ai aimé cela. Comme si l'oeuvre et moi, n'avions pas "connecté", ce qui dans mon cas est très rare. Et pourtant !!!
Il y avait dans cette histoire abracadabrante de Jésus, oui, "le" Jésus, tous les ingrédients pour que j'y trouve mon compte. Une entrée en la matière fort bien faite par notre maître de cérémonie (Étienne Lou) qui saura tout au long nous guider avec doigté et humour, tel un "dieu", tout au long de cette histoire. Des tableaux aussi, dans lesquels la danse était fort bien exploitée. La scène finale durant laquelle cette femme (Frédérique Rodier) combat à mains nues sans relâche trois et ensuite une troupe complète de guerriers jusqu'au tableau final fort bien réussi. Dans cette longue scène, durant elle n'arrête pas de combattre, je manque de souffle pour elle. Il y a eu aussi, l'arrivée d'un colis qui ne passe pas dans la porte, qui est d'un superbe absurde. Tous les tableaux sont fort bien amenés, bien interprétés et par conséquent tout à fait réussis. Et pourtant, malgré mes efforts, je ne connecte pas.
Le spectateur était sûrement dans de mauvaises dispositions. Et question de le savoir, il se promet d'en découvrir la suite lorsque sur scène, elle sera présentée !
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