vendredi 27 mai 2022

Sur mes pas en danse: Des premiers pas éclatants, comme des feux d'artifice au FTA avec "Re: Incarnation" !

De l'édition précédente du FTA, j'en étais fort heureux, mais, cette année l'atmosphère était beaucoup plus festive avec des précautions sanitaires presque toutes disparues. Et comme il se doit pour toute atmosphère festive, les feux d'artifices sont de mises. Et pour cette édition, les "big boss" du festival, ont, semble-t-il, décidé de les mettre au début. Quoique, il faut un peu de prudence puisque le FTA débute à peine. Et ces feux d'artifices, c'est le chorégraphe nigérian, Qudus Onikeku qui nous les proposent avec "Re:Incarnation". 

                                                     Tirée du site du FTA

C'est dans le siège A1, en toute première rangée que je découvrirai les dix danseuses et danseurs (Wisdom Bethel , Addy Daniel, Patience Ebute, Esther Essien, Joshua Gabriel, Faith Okoh, Angela Okolo, Busayo Olowu , Adila Omotosho et Obiajulu Sunday Ozegbe) avec deux musiciens sur scène (Victor Ademofe et Olatunde Obajeun) nous proposer cette histoire universelle de vie et de mort avec ses chapitres.

Je ne serai pas capable de décrire aussi bien que Léa Villalba dans le Devoir et qu'Iris Gagnon-Paradis dans La Presse ce que sur scène, il s'est passé. Je vous invite à aller lire leurs textes fort riches. Il en reste que pour faire court, c'est un feu d'artifice que j'ai vu tout au long. Ce feu d'artifice composé par des tableaux dont le sens m'échappait parfois, mais impossible d'échapper à leurs effets. Le total engagement des interprètes à la proposition rayonnait jusqu'au fond de la salle, j'en suis convaincu ! Et lorsque la mort semble avoir eu le dessus, le dernier tableau nous en prouve tout le contraire.

Et lorsque le tout se termine, je suis aux premières loges pour découvrir les grands sourires rayonnants des interprètes et du chorégraphe face à nous, spectateurs fort comblés. Et lorsque l'invitation à leur répondre nous a été lancée, je serai du très grand nombre à y répondre.

Une soirée, telle un hirondelle au printemps, qui ouvre fort brillamment cette édition du FTA et les frontières à d'autres propositions d'ailleurs qui viendront sur nos scènes dans un futur tout proche. 

Aucun commentaire:

Publier un commentaire