lundi 31 juillet 2017

Sur mes pas au cinéma: "Entre l'ombre et la lumière"

Cette journée d'été, je l'ai dédié au septième art en me permettant un programme double. Pour la résumer en quelques mots, je n'ai rien trouvé de mieux que le titre d'une chanson de Marie Carmen, "Entre l'ombre et la lumière" (de son album "Miel et venin" que j'avais tellement aimé).

https://www.youtube.com/watch?v=wFHp80ub85g pour les curieux.

Donc, dans cette journée, mes pas m'ont porté jusqu'au Cinéma Beaubien pour d'abord assister à la projection de "Lady MacBeth" de William Oldroyd. L'ombre de la nature humaine lorsque dans une Angleterre des années 1860, une jeune femme devient l'objet, l'apparat, d'une famille riche. Ignorée et humiliée par son mari et sermonnée par son beau-père, elle tente de prendre le contrôle de son destin. Malgré les vêtements qu'elle porte, elle ne fait pas dans la dentelle. Cette Lady Macbeth, incarnée par la fort convaincante Florence Pugh (fort lumineuse de prestance) et sa détermination nous gardent captif sur notre siège jusqu'à la toute fin. Le côté sombre (l'ombre) de l'être humain est efficacement présenté. Un film à aller voir !

                                                Photo tirée du site de La Presse et fournie par TVA Films

Un peu plus tard, dans la plus grande salle de ce même cinéma (Beaubien), je prend place pour découvrir l'opus 2 "De père en flic", comédie que je mets du côté lumière de ma journée, malgré que je m'y rends en soirée, parce qu'une comédie reste une comédie et c'est colorée de lumière.

J'avais vu de "Bon Cop, Bad Cop 2", donc pas question de faire des jaloux. Plutôt que d'utiliser un scénario qui emprunte d'autres chemins, Émile Gaudreault réutilise pour son deuxième opus le même type de parcours. Et moi, durant le visionnement, j'ai ri parce que les dialogues sont souvent fort bien réussis. L'intrigue est correcte, mais j'ai, malheureusement, été déçu de certaines scènes "à l'américaine" peu crédibles et qui n'amènent rien de plus à l'histoire. Le duo Michel Côté et Louis-José Houde est efficace et ceux qui les entourent aussi, toi aussi Kev dont la contribution est petite, mais fort appropriée et appréciée. Une sortie cinéma, éloignée de mes sentiers habituels, mais au final, pour les rires et la performance de Louis-José Houde a été réussie.



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