mercredi 15 juin 2022

Sur mes pas de spectateur en danse au Fringe: "Seven" qui ouvre aux perspectives de vivre avec les autres !

 Pour ma deuxième sortie à une présentation du Fringe, je vais assister à "Seven" de Naomi Gwynn, accompagnée sur scène par Sylvia Berman, Brittney Canda, Lauren Buchardt, Ariane Levasseur, Aicha Benchaaboune, and Benjamin Alexandor. Pour cela,  j'ai fait de la place dans mon agenda. Parce que voyez vous, parmi les interprètes, il y avait Ariane Levasseur que j'ai pu découvrir  et apprécier plusieurs fois depuis quelques années, que ce soit dans les présentations du Département de danse de l'UQAM ou dans celles des différentes Passerelle 840. Il en reste que c'est de la danse et que je suis bien curieux. C'est donc bien assis dans la première rangée du La Chapelle que j'attends le début devant une scène vide sauf dans le coin gauche. tout au fond, un divan.

                                                                Tirée du site du Fringe

Le moment arrivé et entouré de plusieurs autres personnes tout autour, se présente à nous des femmes dans une introduction intrigante pour rapidement mettre la table à l'arrivée de ce groupe (sept interprètes) et de ce fauteuil qui tente de nous présenter une image de groupe heureux ou presque derrière ces sourires d'apparat !

C'est par la suite, que le propos se présente et qui pour moi me rappelle, à certains égards, les relations de ces jeunes dans "L'auberge espagnole" de Cédric Klapisch (sorti en 2002) et dont je conserve de belles traces !

Pause

Le hasard fait bien les choses, parce que voyez vous, de ce réalisateur sera présenté prochainement sur nos écrans de cinéma , "En corps" dont le sujet porte sur la danse contemporaine. J'irai !

Fin de la pause

Tout au long de ces trop courtes vingt-cinq minutes, nous verrons différentes déclinaisons chorégraphiques de leurs relations avec les corps qui portent fort bien les différents états, dont ceux de solitude ou d'être avec un ou une autre ou d'être plusieurs. Dans la vie de groupe, il y a celle qui pleure, celle qui rit, celle aussi qui tente de sauver les apparences. Mais que cachent ses visages souriants lors de la photo de groupe, voilà un moment qui me marque. 

Les gestes expriment fort habilement ces relations, ces va et vient dans un groupe. Une oeuvre qui porte son histoire tout en nous permettant d'y trouver la nôtre ! 

Aucun commentaire:

Publier un commentaire